sábado, 24 de febrero de 2007

Imágenes absurdas de un pasado imaginario


J'attends son train dans une plate-forme de la gare d'Orsay. Son image est reproduite des mille fois dans mon esprit. Elle est la femme. Elle, avec sa jeunesse, fera trembler les fondations de Paris.

4 comentarios:

Lupus Magister dijo...

Oh la là, très bien monsieur, l'amour est present, très bien, bravo!

Humbert dijo...

gracias, pero creo que lo mejor es el título del post.

Anónimo dijo...

C'est toujours le passé qui vient nous chercher pour nous faire rendre compte que maintenant on n'a plus...de ces choses qui nous faissont sourire quand on se lève...

Humbert dijo...

je veux laisser passer,
mais je ne peux pas.